Ancienne propriété de Feu Mohamed Larbi Zarrouk (Maire de la Ville de Tunis et premier proviseur du Collège Sadiki), les lieux sont chargés d’Histoire et un grand soin a été apporté à leur restauration.
La grande salle à manger est un mélange subtil et équilibré entre modernité et tradition. Imposante et généreuse avec une vue imprenable sur la baie de Tunis, tout y est pensé pour servir l’éveil des sens…
Des lignes pures, des objets authentiques et des luminaires modernes confèrent aux différentes salles du restaurant un véritable cachet. Une atmosphère luxueuse avec une âme de bon vivant prêt à croquer la vie à pleines dents….
La terrasse, idéale par beau temps, vous donnera l’impression d’être la figure de proue d’un navire traversant les flots de la Méditerranée….
Un arbre Séculaire est le centre de la cour intérieure du restaurant. Avec ses racines solidement ancrées et ses branches qui s’élèvent au ciel, vous apprécierez encore plus vos cocktails durant les après-midi de printemps. Une fois la nuit tombée, il illuminera la soirée avec les guirlandes et lanternes qui y sont nichées pour une ambiance douce et chaleureuse.
Dar Zarrouk
Ancienne propriété de Feu Mohamed Larbi Zarrouk (Maire de la Ville de Tunis et premier proviseur du Collège Sadiki), les lieux sont chargés d’Histoire et un grand soin a été apporté à leur restauration.
La grande salle à manger est un mélange subtil et équilibré entre modernité et tradition. Imposante et généreuse avec une vue imprenable sur la baie de Tunis, tout y est pensé pour servir l’éveil des sens…
Des lignes pures, des objets authentiques et des luminaires modernes confèrent aux différentes salles du restaurant un véritable cachet. Une atmosphère luxueuse avec une âme de bon vivant prêt à croquer la vie à pleines dents….
La terrasse, idéale par beau temps, vous donnera l’impression d’être la figure de proue d’un navire traversant les flots de la Méditerranée….
Un arbre Séculaire est le centre de la cour intérieure du restaurant. Avec ses racines solidement ancrées et ses branches qui s’élèvent au ciel, vous apprécierez encore plus vos cocktails durant les après-midi de printemps. Une fois la nuit tombée, il illuminera la soirée avec les guirlandes et lanternes qui y sont nichées pour une ambiance douce et chaleureuse.
La cuisine
« Il faut revenir à l’essentiel. Repartir du tout début. Là où les goûts sont vrais et les parfums authentiques.
Chaque plat doit faire résonner les saveurs originelles de ses ingrédients…. »
Nos chefs veillent à chaque instant à préserver jusqu’à votre assiette la saveur authentique des produits. C’est la philosophie culinaire du restaurant : « la cuisine de l’essentiel ».
Chaque plat exprime la vérité du produit autour duquel il est construit.
C’est un travail de funambule qui exige une grande technicité et une maîtrise totale des mariages des saveurs.
Le plaisir du palet est mis en avant. L’oeil admire et se régale du résultat final sans soupçonner la difficulté et la maîtrise nécessaire pour un plat ou un dessert aussi appétissant.
Un tel résultat ne saurait être atteint sans des produits d’une qualité et d’une fraîcheur extrêmes.
Nous puisons dans nos produits du terroir tunisien le meilleur, pour le sublimer dans nos plats.
Ici, se vit une histoire simple et absolue, une expérience pleine d’émotions….
La cuisine
« Il faut revenir à l’essentiel. Repartir du tout début. Là où les goûts sont vrais et les parfums authentiques.
Chaque plat doit faire résonner les saveurs originelles de ses ingrédients…. »
Nos chefs veillent à chaque instant à préserver jusqu’à votre assiette la saveur authentique des produits. C’est la philosophie culinaire du restaurant : « la cuisine de l’essentiel ».
Chaque plat exprime la vérité du produit autour duquel il est construit.
C’est un travail de funambule qui exige une grande technicité et une maîtrise totale des mariages des saveurs.
Le plaisir du palet est mis en avant. L’oeil admire et se régale du résultat final sans soupçonner la difficulté et la maîtrise nécessaire pour un plat ou un dessert aussi appétissant.
Un tel résultat ne saurait être atteint sans des produits d’une qualité et d’une fraîcheur extrêmes.
Nous puisons dans nos produits du terroir tunisien le meilleur, pour le sublimer dans nos plats.
Ici, se vit une histoire simple et absolue, une expérience pleine d’émotions….
Sidi Bou Said : Le village
« Le promontoire du soleil éternel »… C’est ainsi que Slimane Mostafa Zbiss, pionnier de l’archéologie en Tunisie, définissait ce village mythique.
Situé à une vingtaine de kilomètre de Tunis, Sidi Bou Saïd est un village pittoresque, perché sur une falaise dominant le site archéologique de Carthage et le Golfe de Tunis. Le village est reconnaissable en un coup d’œil grâce à la blancheur immaculée des murs et au bleu typique des fenêtres de ses demeures.
Haut lieu de villégiature, de détente et de dynamique culturelle, le village est en train d’achever son inscription au patrimoine mondial de l’UNESCO. Il y règne une ambiance apaisée et bonne enfant à toute heure de la journée et en toute saison…
Le village de Sidi Bou Said n’a pas toujours été un havre de paix. Depuis les Carthaginois et jusqu’au XVIIème siècle cette colline servait surtout de tour de surveillance des éventuelles attaques d’ennemis venus de la mer.
Au XIIIème siècle, Sidi Bou Said (Abou Saïd Khalaf Ibn Yahya Attamimi Al Béji) s’y retire dans le Ribat sur la colline, pour monter la garde et y enseigner le soufisme. Plusieurs autres saints de Tunisie seront ses adeptes dont Sidi Belhassan.
A partir du XVIIème, Sidi Bou Said devient le lieu de villégiature de la bourgeoisie tunisoise et de la famille beylicale. Beaucoup de demeures y sont alors construites dans un style arabe et andalou.
Le village acquit sa réputation mondiale au début du XXème siècle, lorsque le Baron D’Erlanger y élut résidence. Edifié à quelques kilomètres du village, son palais fût et est encore un chef d’œuvre de plusieurs styles architecturaux.
Chateaubriand, Gustave Flaubert, Paul Klee, August Macke, Alphonse de Lamartine, André Gide, Colette et Simone de Beauvoir ont tous été attirés par le charme de ce village surnommé à juste titre Le paradis blanc et bleu.
Michel Foucault, quant à lui, y rédigera « L’Archéologie du savoir ».
Sidi Bou Saïd : Le village
« Le promontoire du soleil éternel »… C’est ainsi que Slimane Mostafa Zbiss, pionnier de l’archéologie en Tunisie, définissait ce village mythique.
Situé à une vingtaine de kilomètre de Tunis, Sidi Bou Saïd est un village pittoresque, perché sur une falaise dominant le site archéologique de Carthage et le Golfe de Tunis. Le village est reconnaissable en un coup d’œil grâce à la blancheur immaculée des murs et au bleu typique des fenêtres de ses demeures.
Haut lieu de villégiature, de détente et de dynamique culturelle, le village est en train d’achever son inscription au patrimoine mondial de l’UNESCO. Il y règne une ambiance apaisée et bonne enfant à toute heure de la journée et en toute saison…
Le village de Sidi Bou Said n’a pas toujours été un havre de paix. Depuis les Carthaginois et jusqu’au XVIIème siècle cette colline servait surtout de tour de surveillance des éventuelles attaques d’ennemis venus de la mer.
Au XIIIème siècle, Sidi Bou Said (Abou Saïd Khalaf Ibn Yahya Attamimi Al Béji) s’y retire dans le Ribat sur la colline, pour monter la garde et y enseigner le soufisme. Plusieurs autres saints de Tunisie seront ses adeptes dont Sidi Belhassan.
A partir du XVIIème, Sidi Bou Said devient le lieu de villégiature de la bourgeoisie tunisoise et de la famille beylicale. Beaucoup de demeures y sont alors construites dans un style arabe et andalou.
Le village acquit sa réputation mondiale au début du XXème siècle, lorsque le Baron D’Erlanger y élut résidence. Edifié à quelques kilomètres du village, son palais fût et est encore un chef d’œuvre de plusieurs styles architecturaux.
Chateaubriand, Gustave Flaubert, Paul Klee, August Macke, Alphonse de Lamartine, André Gide, Colette et Simone de Beauvoir ont tous été attirés par le charme de ce village surnommé à juste titre Le paradis blanc et bleu.
Michel Foucault, quant à lui, y rédigera « L’Archéologie du savoir ».